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11 mars 2013 1 11 /03 /mars /2013 18:40

Communiqué de presse :

Monique Gibotteau et Pascal Brindeau formeront « un duo » pour construire et porter le projet d’alternance aux municipales de 2014 à Vendôme. C’est ce qu’ils ont annoncé à leurs soutiens politiques ce lundi 11 mars à l’occasion de l’assemblée générale de l’association « construire ensemble le Vendômois » créée en 2011 et présidée par Xavier Boutard, suppléant de Monique Gibotteau aux cantonales de 2011 sur le canton de Vendôme 2 où elle a été réélue.

L’ancien député et chef de file de l’opposition municipale conduira la liste et la 2èmevice-présidente du Conseil général figurera en deuxième position.

« Ce duo, c’est l’expression de nos complémentarités et de notre complicité affective, de notre énergie que nous offrons aux Vendômois pour porter ensemble l’alternance en 2014. Nous leur proposons un contrat de confiance et d’efficacité pour Vendôme et pour la communauté de commune. Notre démarche est transparente. » 

En cas de victoire aux élections municipales de mars 2014, Pascal Brindeau assumera le mandat de maire : « Je serai à 200% au service de notre ville de Vendôme et des Vendômois. Si les Vendômois nous font confiance, je ne serai pas candidat aux élections cantonales et régionales de 2015 pour me consacrer pleinement aux responsabilités qu’ils nous auront confiées. »

Monique Gibotteau, occuperait le poste de 1ère adjointe avec délégation générale tout en conservant ses fonctions exécutives au Conseil Général : « ainsi, cette complémentarité s’exercera au quotidien et nous pourrons construire des relations de confiance entre la ville et le département, qui font défaut aujourd’hui et qui sont préjudiciables aux Vendomois. »

« La phase qui s’engage, de consultation et de dialogue avec les vendômois, va être consacrée à la construction du projet d’alternance avec une priorité : l’emploi et le développement économique, première préoccupation de nos concitoyens et échec majeur de la municipalité sortante. Nous allons dans le même temps faire le bilan du mandat qui s’achève : des impôts locaux élevés, qui ont encore augmenté sans les services et équipements que les Vendômois sont en droit d’attendre. »

PB gibotteau.jpg

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8 mars 2013 5 08 /03 /mars /2013 15:48

Découvrez le nouveau numéro de notre lettre d'information avec une nouvelle mise en page. Bonne lecture.

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jpeg-MAQUETTE-v6--mars20132.jpg

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23 février 2013 6 23 /02 /février /2013 20:12

L'engagement n°9 du candidat Hollande lui non plus ne sera pas tenu. Les chiffres de la Commission européenne sont tombés, ils sont sans appel. François Hollande et le gouvernement Ayrault ont échoué à ramener le déficit de la France à 3% et à tenir les engagements de notre pays auprès de ses partenaires européens. La dérive de la trajectoire des finances publiques de près de 1% représente 14 milliards d'€ et obère les chances d'arriver à l'équilibre en 2017, malgré le travail de réduction structurelle de la dépense publique engagée par le gouvernement Fillon.

A l'irréalisme des perspectives de croissance retenues par les socialistes pour 2013 s'ajoutent des dérives de dépenses. L'effort demandé à nos compatriotes, le matraquage fiscal des ménages et des entreprises ne suffit pas à lui seul, l'Etat doit être plus vertueux. Si rien n'est fait le déficit de la France va repartir à la hausse pour passer de 3,7% pour 2013 à 3,9% en 2014. Dans le même temps, la politique menée par François Hollande est un échec à relancer la croissance et l'emploi. Celle-ci reste en deça de la croissance de la zone euro et les perspectives ne montrent aucun progrès à attendre. Sur le front de l'emploi également c'est l'échec, le chômage continuera d'augmenter en 2013 pour dépasser les 11%.

Après 9 mois, le bilan Hollande-Ayrault porte un seul nom : l'échec total.

carton-rouge.jpg

 

 

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22 février 2013 5 22 /02 /février /2013 08:46

Il y a eu, en octobre dernier, le Premier ministre annoncant la décision du Conseil constitutionnel annulant le projet de loi Dufflot, avant même que celui-ci ne délibère. Il y eu l'annulation par ce même juge consitutionnel de la taxation des hauts revenus à 75% , promesse phare du candidat Hollande bricolée sur un coin de table. Si l'on avait voulu berné le bon peuple, on ne n'y serait pas pris autrement...

Hier c'est le Ministre délégué aux anciens combattants qui annonce la libération des otages français enlevés au Cameroun, dans l'Hémicycle de l'Assemblée nationale, sans confirmation ni vérification.

S'il n'était aussi grave, le sujet prêterait à rire. En l'occurrence, la sécurité et la vie de nos compatriotes est en jeu. Le cafouillage au sommet de l'Etat qui a suivi cette annonce, ne démentant pas immédiatement l'imprudence de l'un de ses membres est la marque de l'incompétence et de l'amateurisme qui préside à l'action gouvernementale depuis mai dernier.

Espérons que la journée d'hier n'ait pas été préjudiciable à l'action des services de renseignements, à celle de la diplomatie française dans la région. Et qu'elle n'ait pas amenuiser les chances de libération rapide. A minima, le chef du gouvernement doit des excuses aux familles des otages. Et le ministre en question devrait lui même tirer les conséquences de l'énormité de sa faute en démissionnant.  

Dans le même temps, Monsieur Montebourg envenime les relations commerciales franco-américaine en répondant à la provocation par la provocation. A-t-il conscience que lorsqu'il s'exprime, c'est la voix de la France qui est entendeu outre-atlantique où notre pays n'a pas toujours "bonne presse" ? Quelle est véritablement l'utilité d'un ministre dont la seule fonction semble être les déclamations incantatoires ou inquisitoires ? Sans doute le redressement productif et budgétaire commencerait-il pas la suppression du "ministère de la parole en l'air" ...

 

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20 février 2013 3 20 /02 /février /2013 15:55

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J'étais ce matin l'invité de Pascal Gaultier sur Plus FM, la radio du Loir-et-Cher  - 89.4 - pour parler de l'actualité politique locale et nationale, du travail de l'opposition au conseil municipal de Vendôme et des futures élections municipales de 2014.

pascal-brindeau-4.jpg

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19 février 2013 2 19 /02 /février /2013 09:34
Jean-Luc-Melenchon scalewidth 630  Ce n'est pas moi qui le dit, c'est le représentant du Front de gauche à Vendôme qui l'écrit (article publié sur le site http://frontdegaucheenvendomois.over-blog.com/article-reductions-des-dotations-de-l-etat-un-regime-indigeste-pour-les-collectivites-et-les-habitants-115435564.html )
Avec de tels propos, la cohérence politique voudrait que P. Callu et ses amis ne votent ni le budget de la ville de Vendôme, ni celui à venir de la communauté de communes, qui valident les choix gouvernementaux et en sont la traduction. Allez, encore un petit effort, prenez exemple sur les sénateurs communistes qui rejettent les textes budgétaires du gouvernement Ayrault ! 
  

Le gouvernement vient d’annoncer un nouveau tour de vis avec un doublement de la réduction des concours de l’Etat d’ici 2015, ce qui portera le total du prélèvement à 4,5 milliards d’euros.

Cette politique menée sur le dos des collectivités est insupportable, et je partage la réaction de l’AMF qui dénonce « … la méthode retenue par le Gouvernement, qui fait cette annonce lourde de conséquences sur les collectivités locales, sans aucune concertation préalable, malgré l’engagement du Président de la République sur l’élaboration d’un « pacte de confiance et de solidarité… ».

Ainsi, comme j’ai pu le dire lundi dernier lors du débat d’orientation budgétaire de la communauté du Pays de Vendôme, « cette décision, si elle est mise en œuvre aura un impact direct sur la cohésion sociale, sur les services rendus à la population au risque d’en diminuer soit le volume, soit la qualité, mais, aussi sur l’investissement local facteur d’emplois, et donc sur l’économie locale… ».

Avec cette succession de décisions unilatérales, nous sommes bien loin du pacte de confiance annoncé par le Président de la République lors des Etats-Généraux organisés par le Sénat en octobre dernier.

D’autant plus que ce recul des dotations se conjugue avec l’accroissement des charges imposées aux collectivités comme la réforme des rythmes scolaires, la hausse des cotisations à la CNRACL, le cofinancement des politiques nationales, le relèvement du taux de TVA. C’est plusieurs milliers d’euros de charges qui s’imposeront aux habitants.

L’Etat doit revoir sa copie, ouvrir immédiatement des négociations avec les collectivités et les associations d’élus, et prévoir des dotations suffisantes dans les lois de finances à venir.

Patrick CALLU

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17 février 2013 7 17 /02 /février /2013 09:22

  vue.vendome2.jpg    Jeudi 14 février nous étions réunis en conseil municipal pour délibérer sur le projet de Plan local d'urbanisme (PLU) en arrêtant le plan de zonage et le réglement, avant consultation des personnes publiques associées et enquête publique. 

Derrière des éléments techniques sont soustendus une idéologie et un parti pris extrêmement préjudiciables à une ville comme la nôtre.

Vouloir restreindre les possibilités de contruction et de renouvellement aux seules zones de l'espace urbain au centre de la ville interdit toute complémentarité de l'offre de logements. Supprimer la totalité des terrains jusque là réservés à une urbanisation future, sous prétexte de "rendre la terre aux agriculteurs" est la marque de cette idéologie écologiste radicale.

Les agriculteurs aujourd'hui ne sont pas déposédés de ces terres qui en bordure de ville comme à l'intérieur de zones déjà urbanisées sont cultivées! Sur 170 hectares ouverts en 1984 par le plan d'occupation des sols, environ 10% ont été utilisés en 30 ans. Il s'agissait de conserver des opportunités de développement futur.

L'actuelle municipalité socialiste fait le choix de recroqueviller la ville sur elle-même et nul doute qu'avec ce parti pris, les zones pavillonnaires de la périphérie de la ville, à Villiers, à Areines, à Naveil et même au-delà de la première ceinture ont de beaux jours devant elles.

De grands discours sur l'offre de services publics et d'équipements sont tenus par Madame Lockhart et ses adjoints, comme marque du rôle de centralité de Vendôme. Le résultat de cette politique désastreuse sera une diminution programmée des recettes fiscales de la ville pour une demande toujours plus importante des habitants de la périphérie. Qu'en est-il également de l'objectif de limiter les déplacements dans une perspective de crise énergétique quand le seul choix laissé aux familles, aux accédants à la propriété sera d'aller s'installer à plusieurs kilomètres de Vendôme ?

Autre parti pris préjudiciable : contraindre coûte que coûte la circulation automobile et le stationnement dans l'hyper-centre. Tous se félicitent du joyau architectural et patrimonial constitué par le coeur historique, qui est aussi un poumon commercial et touristique. Mais à travers l'esquisse de projet du quartier rochambeau piloté par l'actuelle municipalité comme à travers les propos tenus par Catherine Lockhart, est inscrite la volonté claire d'éloigner le stationnement de l'hyper-centre et de diminuer les possibilités d'accès par la voiture au coeur de la cité.

La majorité veut faire de Vendôme, une ville pédestre et cycliste où les déplacements doux priment sur l'automobile. Elle ne réusira qu'à muséifier le coeur de ville et tuer le commerce de détail qui fait l'attractivité des quartiers de la place Saint-Martin, de la rue du change, de la place du marché couvert, de la rue Poterie et du Faubourg Chartrain.

Des promenades et des cheminement cyclables valorisant les bords de loir et les différents monuments doivent êtrer un plus. Mais cette offre ne peut se faire au détriment de l'accessibilité du centre-ville aux Vendômois et à tous ceux qui viennent de l'extérieur, consommer, travailler ou visiter Vendôme. 

Alors qu'il faut mettre en oeuvre une politique volontariste de redynamisation économique, touristique et démographique de l'hyper centre, le plan local d'urbanisme et demain le plan local des déplacements vont renforcer les contraintes qui pèsent sur lui.

Avec le PLU tel qu'il est orienté actuellement, par le déséquilibre qu'il organise, Madame Lockhart et l'actuelle majorité prépare le déclin démographique et économique de notre ville de Vendôme. Plus qu'une responsabilité, c'est une faute.

      vue.vendome1.png    vue.vendome3.jpg

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2 février 2013 6 02 /02 /février /2013 09:39

Décidément, le changement c'est maintenant !

Et les Vendômois constatent que ce changement, soutenu par Madame Lockhart et l'actuelle majorité municipale, se fait à leur détriment. En témoignent deux dossiers abordés au conseil municipal de jeudi dernier, 31 janvier.

La réforme des rythmes scolaire, que Madame Lockhart valide et soutient, que certains des élus de son équipe (communistes et écologistes) contestent mais valident au final en votant la délibération qui la met en place, va coûter au moins 300 000 € par an aux contribuables vendômois.

Cette réforme est rejetée par les syndicats enseignants, rejetée par la plupart des communes qui devront supporter en termes d'organisation et de financement le choix du Ministre de l'Education, fait en l'absence de concertation préalable. 

S'y ajoute le retrait annoncé ce même jour par le Ministre de la Ville François Lamy, des crédits de politique de la ville qui bénéficiait à 2500 quartiers, dont celui des Rottes à Vendôme. Notre ville va perdre les 100.000 € d'enveloppe de l'Acsé pour le Plan de réussite éducative et les 550 000 € de dotation de solidarité urbaine dont elle bénéficie actuellement vont se réduire comme peau de chagrin à partir de 2014. Ces crédits avaient été préservés sous le précédent gouvernement grâce au Ministre de la Ville, Maurice Leroy... 

Et Madame Lockhart de considérer que ce gouvernement mène une politique juste et efficace !

La facture socialiste du changement est lourde, très lourde pour Vendôme et les Vendômois : à ces charges supplémentaires et diminutions de crédits spécifiques, va s'ajouter une baisse générale de l'aide de l'Etat aux collectivités de 3% à partir de l'année prochaine.

Cette politique, que Madame Lockhart soutient, il faudra la sanctionner dans les urnes en mars prochain. D'ici là, avec mes collègues élus de l'opposition, nous allons continuer de dénoncer ces choix gouvernementaux qui vont à l'encontre des intérêts de notre ville et des Vendômois.      

_2400060.gif 

délimitation de la ZUS de Vendôme bénéficiaire du Contrat urbain de cohésion sociale (Cucs)

 

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1 février 2013 5 01 /02 /février /2013 07:06

Voici le texte de la motion qu'avec les élus de l'opposition j'ai présenté au conseil municipal de Vendôme hier soir. L'actuelle majorité socialiste bien que critiquant la réforme a adopté une délibération validant le décret, malgré un coût à la charge des Vendômois de plus de 300.000 € par an.

Cette motion sera adressée au Ministre de l'Education nationale, au Recteur de l'académie, au directeur départemental des services académiques, aux syndicats d'enseignants et aux associations de parents d'élèves.

 

Conseil municipal de Vendôme du 31 janvier 2013

Motion des élus du groupe « Donnons à Vendôme, un nouveau visage »  demandant le retrait du décret du 24 janvier 2013 réformant les rythmes scolaires.

Considérantque le décret 2013-77 du 24 janvier 2013, paru au Journal Officiel du 26 janvier, prévoit le passage à la semaine de 4,5 jours dans les écoles maternelles et primaires, dès la rentrée 2013 sauf dérogation accordée à la commune pour un report à la rentrée 2014,

Considérant le rejet du projet de décret par le Conseil supérieur de l’éducation le 8 janvier dernier,

Considérantl’absence de concertation avec les organisations syndicales d’enseignants et l’opposition qu’ils expriment à cette réforme, encore aujourd’hui 31 janvier, à l’occasion de la journée nationale de grève, succédant à la manifestation des enseignants dans le département le 24 janvier dernier,

Considérantl’absence de concertation avec les fédérations de parents d’élèves, avec les communes et associations représentant les collectivités locales qui vont devoir supporter la réorganisation et le coût de cette décision, environ 600 millions d’euros selon l’estimation effectuée par l’Association des maires de France,

Considérant la faiblesse du fonds de compensation de 250 millions d’euros évoqué par le Gouvernement pour les communes qui appliqueraient la réforme dès la rentrée 2013 et l’absence de compensation ultérieure,

Nous, conseillers municipaux, élus du groupe « Donnons à Vendôme, un nouveau visage »

Demandons au Gouvernement :

-          De retirer le décret précité,

-          D’engager une véritable concertation avec les organisations représentatives des enseignants et des parents d’élèves pour une véritable réforme de l’enseignement primaire qui place le développement de l’enfant et l’apprentissage des enseignements fondamentaux au cœur du projet pour une école refondée,      

-          D’engager une concertation avec les associations d’élus représentant les communes et les collectivités territoriales concernées afin d’évaluer l’impact organisationnel et financier de toute modification de l’organisation du temps scolaire, périscolaire et des transports,

-          De s’engager à compenser aux communes, dans leur totalité, les surcoûts induits par une modification de l’organisation du temps scolaire.  

Pascal BRINDEAU, Geneviève GUILLOU-HERPIN, Monique GIBOTTEAU, Laurent BRILLARD, Anne PAJOU, Benoît GARDRAT, Alia HAMMOUDI, conseillers municipaux de la Ville de VENDOME

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22 janvier 2013 2 22 /01 /janvier /2013 08:39

Qu’il eut fallu que la France intervienne au Mali, sans aucun doute. Que notre pays doive prendre ses responsabilités face à la menace terroriste dans cette partie de l’Afrique, où nous avons des coopérations et des liens historiques et culturels privilégiés avec plusieurs des pays dont le Mali, n’appelle pas de contestation.  

C’est la méthode et surtout l’information, ou plutôt le déficit d’information de la représentation nationale et de nos concitoyens par François Hollande et le Gouvernement qui posent question et problème.

L’opération « Cerval » n’a pu être déclenchée vendredi 11 janvier sans préparation. En réalité, l’on apprend ces jours-ci qu’elle est évoquée depuis septembre dernier. Cela laissait le temps, sans en dévoiler les contours stratégiques et opérationnels, d’informer le Parlement et de préparer l’opinion publique à une telle intervention, opinion qui ne mesure pas encore aujourd’hui les incidences de l’isolement militaire et diplomatique français.

Le Ministre de la Défense vient enfin de préciser -plus de dix jours après le déclenchement de l'opération ! - les objectifs de l'intervention française et de l'envoi de troupes au sol, qui ne consiste pas seulement à circonscrire la progression des terroristes mais bien de garantir la reconquête du nord Mali en soutien des forces nationales maliennes afin de garantir l’unité du pays.

2500 soldats sont envoyés ce qui représente plus de 50% des effectifs qui étaient présents en Afghanistan. Le ministère de la Défense évoque un surcoût « Opex » de 8 millions d’euros par mois (96 millions pour une année) mais le surcoût de la présence française en Afghanistan représentait plus de 500 millions en 2011 et 492 millions en 2012.

Je me souviens des questionnements réguliers des députés socialistes en commission de la Défense à l’Assemblée nationale sur le financement de la guerre en Afghanistan, et le bien-fondé de notre présence la-bas...

La guerre au Mali sera longue et hasardeuse, l’ennemi est le même qu’en Afghanistan.

François Hollande a choisi d’endosser le costume de chef de guerre. Soit. Souhaitons qu’il ne l’ait pas fait dans l’improvisation et l’impréparation. Depuis vendredi 11 janvier, plane comme l'ombre d'un doute.  

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